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Dans le prolongement des championnats du monde de kayak-polo organisés à Thury-Harcourt en septembre 2014, un territoire particulièrement repéré comme "terrain de jeu sports de nature" a été questionné. Cette entité pourrait porter le nom de "Vallée de l'Orne" ou de "Suisse Normande" en tant que région naturelle et traditionnelle, restreinte cependant à son expression Calvadosienne. Ce territoire est reconnu pour son potentiel "sports de nature". Les 55 000 descentes de l'Orne en canoë-kayak ou la destination "escalade à Clécy", très souvent citée comme site favori par les adeptes de cette pratique sportive l'attestent. Peut-on mieux exploiter ce potentiel ? Permet-il d'apporter des réponses de "bien-vivre" aux autochtones les incitant à maintenir leur domiciliation et plus encore à y développer une activité sociale (engagement associatif, pratiques de loisirs, découverte et valorisation du territoire,...) ? Permet-il un attrait suffisant susceptible de capter des populations nouvelles, et ce pour des activités ponctuelles, des séjours courts ou longs voire une installation durable ? Les sports de nature sont-ils un vecteur de développement pour ce territoire ? Comment peuvent-ils contribuer à la valorisation du territoire en apportant des services de qualité aux habitants tout en rendant le territoire attractif ? Peuvent-ils être éléments d'identité pour ce territoire ?

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Suisse normandesports de naturevallée de lOrne